Physiologie et Psychologie

Les Na'vi sont le peuple natif de Pandora. Chasseur-cueilleur, leur technologie peux ce comparer à l'époque paléolithique sur terre. La différence étant leur connexion profonde avec leur environnement, leur permettant de ce "connecter" ou ce "Liée" (On appel ce lien "Tsaheylu" ce qui veux dire "lien", "Connexion Neural" en Na'vi) à pratiquement n'importe quel créatures et partager/échanger des données de la mémoires grâce au "réseaux" sur Pandora. Plus connu sous le nom de "Eywa". Qui à une grande importance dans la vie de toute les jours des Na'vi.
Tout les Na'vi possède un kuru. Autrement dit, leur queue situer à l'arrière de leur crâne qui leur permet de ce lié à un autre Na'vi ou une créatures. Cette extension du système nerveux est le plus souvent caché sous une couche de poils soigneusement tressés autour pour le protéger. Cette tresse commence à la naissance et se maintient tout au long de la vie d'un Na'vi.
Cette connexion pour les Na'vi leur permet de ne faire "plus qu'un" lorsque lié avec d'autre forme des vies, d'accéder à la conscience collective de leur ancêtre via Eywa et échanger des souvenirs lorsque lié à un autre Na'vi.
Noté bien que cette liaison n'est pas un acte sexuel, bien qu'il soit pratiquer lors des accouplements.

Tout les na'vi sont globalement humanoïdes dans leur anatomie, à l'exception de leur 4 doigts et leur caractéristiques félines. Telles qu'un nez plat et bifurqué, de grands yeux ronds, des oreilles pointues qui peuvent se déplacer indépendamment et une longue queue préhensile. Leur cou est long et le corps mince, avec une taille étroite, allongée et de larges épaules en forme de V.
La peau des Na'vi est lisse et irisée d'une teinte touchant principalement les couleurs bleues pâles à très foncé, leur rayures varies selon le milieu et l'exposition au soleil pour les "forest Na'vi".
Dû à leur mode de vie aquatique, les "Reef Na'vi" on développer des bras et des jambes en forme de nageoires, une large queue en forme de pagaie, une peau allant du cyan verdâtre au turquoise avec des rayures plus aqueuses et des yeux avec une membranes nictitantes.
 
NB: Par manque de documentation sur le sujet de la reproduction des FN et RN entre eux. Nous avons décidé qu'ils peuvent ce reproduire mais donneront naissance à des enfants stériles. À l'image des animaux venant de la même famille mais pas de la même espèce (Exemple du Tigre et du Lion, donnant naissance à un ligre incapable de ce reproduire.)




À la différence des humains, dû à leur profonde connection à Eywa, les Na’vi respecte tous sans exception une lois “non écrites” des règles de vie. Aucune information ne révèle quand Eywa a décrété ces lois, mais celle-ci est devenu le dogme de tout les Na’vi. Qu’importe la région, le Clan et les différences culturels, les “Trois lois de Eywa” dictent leur mode de vie et rappel qu’il faut vivre en harmonie avec la nature. Que tout les Na’vi sont les enfants de Eywa et qu’il faut vivre comme un enfant de la grande mère. C’est le Meoauniaea, l’harmonie. Vivre en ne faisant qu’un avec la nature.

Voici les trois lois de Eywa.




Nous pouvons résumer celle-ci ainsi: toutes actions qui pourraient nuire à l'environnement sont interdites.
Ainsi, il est d'autant plus compréhensible pourquoi les Na'vi font preuve d'agressivité envers l'humanité. Ils ont trépasser les trois lois les plus importantes de Eywa.

Eywa n’est pas seulement une entité spirituelle, cette entité est “réelle et observable”. L’écosystème de Pandora est un organisme complexe et conscient dont l’humanité à difficulté à saisir et voir sa présence. Elle n’est cependant pas perçu comme une “Déesse créatrice de monde” ou “Toute puissante” au yeux des Na’vi.. Les désastres naturels, les maladies et les autres phénomènes naturels ne sont pas l'œuvre de Eywa. Eywa protège la balance de la vie, protège, guide et aide les Na’vi à faire face aux assauts de la nature (ou de ces envahisseurs). À la fin d’une vie, les Na'vi croient que les âmes des morts retournent vers la conscience de Eywa, puisque notre corps et notre âme est une énergie emprunté. Celle-ci doit alors retourner à Eywa, avant de renaître sous une autre forme et ce dans un cycle éternel de mort et de renaissance. La mort n’est donc pas une fin absolue. Eywa enseigne que la mort permet un progrès, puisque sans elle il ne peut y avoir de naissance. D'où l'importance de respecter et remercier l’animal après une chasse réussie:

L'Iknimaya est une étape importante dans la vie de tout les Na'vi. Ce rite de passage célébrant le passage vers l'âge adulte est propre à chaque clan, bien qu'elle puissent avoir de nombreuse ressemblance. L'Iknimaya de chaque clan sera brièvement détailler dans leur fiche respective dans ce sujet: https://eywa-eveng.forumactif.com/t147-les-clans-les-rangs
Pour combler le manque d’information au niveau des Iknimaya de chaque clan, nous avons pris la liberté d’en ajouter. Certaines informations ne sont donc pas canon à la franchise !

Revenons à nos moutons. L’Iknimaya, ce rite de passage, comporte plusieurs étapes au cours de la vie d’un Na’vi. Que ce soit la réussite d’une première chasse qui démarre l’ascension pour devenir chasseur ou celle d'accomplir un travail manuel minutieux comme célébré chez les Kame'tire. Il s’agit d'étapes importantes soulignant l'avancée vers la “vie d'adulte”. Celle d’être un guerrier accomplis ou un guérisseur, voire un artisan.  Pour comparaison, celà pourrait s’apparenter à la réussite d’un examen de conduite, ou de décrocher son premier emploie chez les humains. Ces étapes sont souvent célébrées par la famille et/ou le clan avec l'accompagnement de la Tsahìk. Tous les membres d’un clan ont tous les mêmes étapes de l’Iknimaya lié à la culture de leur clan. Même que ces étapes doivent être refaite si un Na'vi viens à intégrer un nouveau clan. Bien que certaines étapes doivent être absolument accomplis pour qu’un Na’vi puissent être considéré comme un chasseur ou un guerrier ou un guérisseurs, etc, accomplis. Cela ne signifie pas qu’un membre est moins important qu’un autre s'il n'as pas réussi celle-ci. Même sans la réussite de l’Iknimaya, tous les membres d’un clan sont importants. Tout les rites n'ont pas la même "valeurs", si nous prenons l'exemple des Omatikaya et de la dernière étape pour devenir un chasseur (Obtenir son Ikran). Celle-ci n'est pas réussi chez tout les individues et ne rend pas un membre moins importante au yeux du clan. Un chasseur peux tout de même ce rendre utile en utilisant un Pa'li ou aider dans les membres du clan avec d'autre tâche (faire à manger, aider au tissage, faire de la cueillette, etc).


À noter que l’Iknimaya est aussi le nom d’un lieux existant dans les montagnes de l’Hallelujah.

Le Waytelem (Song cord), est un “aide-mémoire” de l’histoire personnelle d’un individu. Tous les Na’vi en possède un. Cette chaîne, remplie de perles colorées et au forme diverse, représente un événement marquant dans la vie de l’individu. Une chasse, un combat, la perte d’un proche, la rencontre avec quelqu'un, etc. Cette corde est ensuite chanter, respectant un rythme, une mélodie et une sélection de mots. Chaque bille, exprimant une histoire, est seulement connue par l’individu même et ses proches.  Les premières billes de vie ( la première bille mise signifie toujours la naissance de cette individu) est mises par les parents de l’enfant jusqu’à ce que celui-ci soit en âge de pouvoir ajouter ses propres billes. Très jeune, les jeunes Na’vi apprennent à chanter l'histoire de leur vie, cependant les parents veille à garder une version plus appropriée que celle de leur enfant.

Le Waytelem est extrêmement important, puisqu’elle représente l’identité même d’un Na’vi mais plus encore: les clans et même les famille possèdent leur propre corde. Pour rappel, les Na’vi n’ont pas de système d’écriture. Le Waytelem est l’un des objets servant à se remémorer les évènements de son passé, celui de sa famille et/ou de son clan.
Sans oublier qu’à la mort d’un individu, le Waytelem est chanté par le bien-aimé (ou la personne la plus proche) lors de la cérémonie du défunt. Une étape du deuil importante et aide à se remémorer une dernière fois, l’être tant aimé. Le Waytelem est ensuite enterré/brûler avec le défunt.